Chapter 4435
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Les mots de Valentina ont laissé Margot bouche bée.
Celui–ci a demandé instinctivement:
–
Tu es devenue folle ? Tu ne sais pas que rester équivaut la mort assurée ?
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–
Je m’en fiche, a déclaré fermement Valentina, que je reste ou que je parte, que je vive ou que je meure, je veux être avec
Clément !
Margot, paniqué, s’est exclamé :
-Valentina, ce n’est pas le moment de parler de loyauté. Mieux vaut qu’une personne s’en sorte plutôt que deux périssent ensemble.
Avec une détermination inébranlable, Valentina a répondu sans hésiter :
–
Ne cherche pas à me convaincre, pars tout seul.
Margot, furieux, a tapé du pied :
Tu as perdu la tête ? Rester ici ne t’apportera rien.
D’une voix froide, Valentina a rétorqué :
Je l’ai dit, je m’en fiche. Je veux rester ici avec Clément.
Bon sang!
Margot a grondé entre ses dents, tout en sortant un chéquier et en y griffonnant frénétiquement, ajoutant:
– Avant, tout était à ta guise, mais pas aujourd’hui !
Après avoir fini, il a arraché le chèque écrit et l’a claqué devant Constantin, disant froidement :
– Voici un chèque de cinq millions de dollars, je pars avec ma fille d’ici !
Constantin a pris le chèque, l’a examiné attentivement, puis l’a glissé dans sa poche, répondant calmement:
– Si vous voulez partir, faites–le rapidement, ma patience est presque à bout.
Margot, ne voulant plus perdre de temps, a saisi le bras de Valentina et a crié :
– Viens, on rentre maintenant !
–
– Je ne partirai pas !
Valentina, paniquée, a résisté de toutes ses forces contre Margot tout en cherchant instinctivement la main de Clément, les yeux déjà emplis de larmes qui ne pouvaient être contenues.
Clément, ému par la situation, est intervenu:
– Mlle Valentina, ne t’inquiète pas pour moi, pars avec M. Margot. Je peux gérer cela tout seul.
Valentina, incertaine des intentions réelles de Clément, que ce soit du cœur ou simplement pour la persuader de partir, a pleuré
en disant:
Je ne partirai pas… Je veux être avec toi !
Clément a insisté avec sérieux :
Mlle Valentina, je t’assure que je n’aurai aucun problème. Parts avec M. Margot, je te rejoindrai dans vingt minutes.
Valentina a secoué désespérément la tête, craignant d’être emmenée par son père, et ses doigts se sont entrelacés avec ceux de Clément alors qu’elle pleurait :
–
Je ne veux pas attendre vingt minutes, je veux rester avec toi ! Si tu restes, je reste; si tu pars, je pars!
Pour Valentina, tant sur le plan émotionnel que logique, il était inconcevable de laisser Clément seul.
Après tout, Clément s’était battu pour elle, comment pourrait–elle simplement fuir dans une telle situation?
Cependant, Valentina ne réalisait pas que sa motivation à rester n’était pas seulement une question de principe.
Son cœur ressentait une affection profonde pour Clément, une émotion qu’elle n’avait jamais expérimentée au cours de ses vingt–quatre années de vie.
Ainsi, sans même en être pleinement consciente, son unique désir était de rester et d’être aux côtés de Clément, et rien d’autre.
Constantin, de plus en plus impatient, a finalement explosé :
Bon sang ! Vous êtes venus ici pour tourner un mélodrame ou quoi ?
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Puis, pointant Valentina du doigt, il a crié :
– Une fille sensée suivrait son père loin d’ici, sinon je vous ferai regretter d’être restée !
Clément a froncé les sourcils et a répondu avec froideur:
Espèce de brute, ta mère ne t’a donc jamais appris à parler correctement aux femmes ? A bout de patience, Constantin, en pointant Clément, a lancé froidement :
– Ça suffit, jeune homme ! J’en ai assez de toi !
Sur ces mots, il a désigné Émeric et a ordonné :
– Érneric, arrache la langue de ce jeune homme, tout de suite!
Émeric a fixé Clément avec un regard sévère et a déclaré froidement :
Jeune homme, tu cherches ta perte, ne m’en tiens pas rigueur !
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